Aujourd'hui, théâtre!

Je vous rappelle que cet aprèm il y aura la fête de fin d'année scolaire, où vous pourrez vous amuser avec les représentations de vos camarades.Un exemple d'il y a quelques années suffit pour vous faire une idée de leur merveilleuse performance. Rappelez-vous! on vous attend à partir de 18h!

Chanson pour elle

 Joyeux anniversaire, ma chef!

Pour un ami

Georges Moustaki est un incontournable dans le panorama culturel francophone, surtout pour un étudiant de français. Chanteur engagé (quelques-unes de ses chansons ont même été interdites en Espagne pendant une certaine époque), poète intimiste, parolier de célébrités (Dalida, Edith Piaf, Serge Reggianni, Yves Montand), musicien polyvalente, artiste complet.
Il est parti cette semaine, il fallait bien mourir un jour dirait-il, , et nous a laissés comme orphelins ... et pourtant, dans le monde, nous prendrons le temps de vivre sans lui,  nous serons des gens au coeur blessé, des métèques, des facteurs, des musiciens, des pêcheurs, des petits hommes et des grands hommes, des filles à 17 ans, à 20 ans, des dames brunes, des mères juives, des grands-pères... Que nous nous appelons Daisy ou Sarah, Sacco ou Vanzetti, Joseph ou Gaspard, nous continuerons à être les amis de Georges,  bien plus que deux, de Bahia ou d'Alexandrie, de Shangaï à Bangkok, de Haiti chérie, en Méditerranée ou au Portugal. Notre amour pour lui et ce qu'il représente (ma liberté, ma solitude) ne finissent pas un jour, parce qu'il  n'est jamais trop tard pour signer une déclaration comme celle-ci:

À l'écran...

Maintenant que la  France parle cinéma avec le festival de Cannes qui bat son plein, je vous laisse ici un petit court-métrage suisse qui nous donne à réfléchir.
Bon Voyage from Fabio Friedli on Vimeo.

...18 ans déjà!

Anniversaire des Indignés

Bravo!

Voilà le sketch que les élèves avaient préparé pour la fête de Noël d'il y a quelques années.

Si vous voulez voir une autre pièce, rappelez-vous :le 15 mai dans la maison de la culture!

La "desmémoire"

Nous avons tendance à oublier.

À l'heure actuelle on parle de ces jeunes qui sont obligés de partir à la recherche d'un travail. Moi,  je vais me permettre de vous rappeler la marée des espagnols qui ont émigré. Beaucoup d'eux ne savaient même pas lire ou écrire. Peut-être on ne les a pas oubliés, c'est qu'on en a honte, car à ce moment-là on ne portait rien au pays où on allait. Aucune sagesse, rien d'autre que notre jeunesse et nos mains pour travailler, mais avant tout, l'honnêteté. On travaillait, c'était tout. Nous avons beaucoup appris et nous avons apporté une grande richesse à l'Espagne, qui , à ce moment-là, était dans un état pire, à mon avis, que celui où elle se trouve maintenant.  

Avant on était obligés de partir à cause de Franco, à cause de lui qui ne nous donnait aucune possibilité, et qui en plus nous poursuivait. Maintenant nos jeunes ne sont pas poursuivis, mais ils sont aussi obligés à partir, faute de travail. Certes, il sont bien préparés. Ils portent donc un grand trésor avec eux, un trésor que nous perdons tous, eux et leurs connaissances.

Dans les beaux temps on disait qu'on avait peur des immigrants, on disait qu'ils venaient prendre notre travail. Et je me demande: les étrangers qui accueillent dans leurs pays nos enfants, penseront-ils la même chose?
L'Espagne a été et continue à être un pays très accueillant, espérons que ce sera ainsi ailleurs.
Non, nous , les parents de ces jeunes qui partent à la recherche d'un emploi qu'ils n'ont pas ici , nous n'avons pas oublié l'époque où nous étions émigrants. On n'oublie pas facilement ce qu'on a vécu en dehors de chez soi.... car on est tellement mieux chez soi!!
---------------------------------------------------------- par  Celia Guerrero -------------------

Au volant, faites attention!

Nous sommes dans la semaine de la sécurité routière.
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Fête des mères

Le premier mai