Héritier de la génération de 1898, réprésentant d'un monde rural qui se perd, pionnier d'un certain dévéloppement durable avant même qu'on en parle... Candidat à plusieurs reprises au Nobel de littérature, il est parti vendredi sans lui.
Quand un grand écrivain nous quitte, un peu de nous tous meurt aussi. Car nous perdons tous une voix qui met en paroles ces émotions que nous-mêmes ne savons pas exprimer, une voix qui transmet notre vécu comme nous n'arrivons pas à le faire. C'est cela ce que MIGUEL DELIBES a fait. Lui, qui disait n'avoir été "qu'un humble journaliste de province". In memoriam.
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